Les travailleurs domestiques migrants n’ont que peu d’échappatoires ou de recours lorsqu’ils sont confrontés au harcèlement sexuel, car ils sont logés chez l’habitant et dépendent du parrainage de leur employeur pour rester au pays. Cela démontre également à quel point il est difficile pour les travailleurs domestiques de faire face à du harcèlement sexuel lorsqu’il n’existe pas de mécanisme formel de plainte.
Welsh, S., Carr, J., MacQuarrie, B. et Huntley, A. (2006). “I’m Not Thinking of It as Sexual Harassment” Understanding Harassment across Race and Citizenship. Gender & Society, 20 (1), 87–107.